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Archive: 12 mai 2017

Entente de coopération entre la CONFEJES et l’Université de Moncton : bourses de la « Cohorte des Jeux de la Francophonie 2021 »

Le mercredi 10 mai 2017, le Secrétaire Général de la CONFEJES, M. Bouramah Ali Harouna et Monsieur Raymond Théberge, Recteur et Vice-Chancelier de l’Université de Moncton (Canada) ont paraphé une entente de coopération pour assurer une diffusion importante de l’appel à candidatures de la « Cohorte des Jeux de la Francophonie 2021 » au sein de l’ensemble de l’espace Francophone. Le lancement de la « Cohorte des Jeux de la Francophonie 2021 » est prévu en septembre 2017.

La CONFEJES, en devenant partenaire officiel de la « Cohorte des Jeux de la Francophonie 2021 », s’est engagée à diffuser le formulaire de l’appel à candidatures et à promouvoir, autant que possible, l’initiative à travers ses différents canaux de communication.

Il faut le rappeler, dans le cadre de la 9e édition des Jeux de la Francophonie en 2021, au Nouveau-Brunswick (Canada), le Programme de baccalauréat de « Gestion du loisir, de sport et de tourisme » offrira aux étudiantes et étudiants de la Francophonie intéressés à travailler dans l’événementiel une expérience d’études unique, soit faire partie d’une cohorte qui vivra de près l’organisation et le développement des Jeux de la Francophonie, et ce jusqu’à obtention de leur diplôme en 2021. Tout au long de leurs études, les 20 membres de la « Cohorte des Jeux de la Francophonie 2021 » pourront :

  • Participer à des activités spéciales organisées en collaboration avec l’équipe des jeux de la Francophonie, ce qui leur permettra de découvrir les nombreuses facettes reliées à l’organisation d’un événement d’envergure Internationale ;
  • Effectuer leur stage professionnel lors de leur dernier semestre d’étude au sein de l’équipe d’organisation des jeux de la francophonie (janvier à avril 2017) ;
  • Suite à leur stage, elles ou ils auront la possibilité d’être embauchés comme employés de l’équipe d’organisation durant l’été de la tenue des jeux.

À cet effet, l’Université de Moncton a implanté un programme de bourses pour ces 20 étudiantes et étudiants qui prendra en charge l’équivalent des frais différentiels de scolarité, ajustés chaque année, soit une valeur d’environ 4750 dollars canadiens par année, pour la durée du baccalauréat de 4 ans. Cette bourse permettra aux étudiant(e)s de payer les mêmes droits de scolarité que les étudiant(e)s canadien(ne)s pour l’ensemble des 4 ans de leur programme d’études en  «  Gestion du loisir, de sport et de tourisme ».

Pour plus d’informations consulter les documents suivants:


Mission conjointe CAMES-CONFEJES à Yaoundé, au Cameroun

Les Secrétaire Généraux du CAMES et de la CONFEJES ont effectué, du 1er au 07 mai 2017, une mission de travail, à Yaoundé au Cameroun. Cette mission s’inscrit dans le cadre du partenariat signé par les deux institutions, le 16 juillet 2016, à Bamako, au Mali, en marge des travaux de la 38ème session des Comités Consultatifs interafricains (CCI).

Cette mission  a eu pour objectifs d’engager un plaidoyer visant (i) la généralisation de la réforme du système LMD à l’INJS de Yaoundé et (ii) la création d’une École Doctorale en Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives – Jeunesse  et Loisirs- en abrégé (STAPS-JL) au Cameroun.

Les Secrétaires généraux du CAMES et CONFEJES ont été reçus en audience le 03 mai 2017 par le Ministre de l’Enseignement Supérieur,  Prof. Jacques FAME NDONGO, en présence des représentants des Ministres des Sports et de l’Éducation Physique, de la Jeunesse et de l’Éducation Civique ainsi que du Directeur de l’Institut national de la jeunesse et des sports (INJS) de Yaoundé et des parties prenantes.

Au terme de  cette audience le Ministre de l’enseignement supérieur du Cameroun a rappelé que « le projet porté par le CAMES et la CONFEJES s’inscrit en droite ligne des instructions renouvelées du Chef de l’État en matière de mise en œuvre du système LMD,  tout en soulignant  l’importance du tutorat des institutions spécialisées par les Universités d’État ». C’est pourquoi, il a instruit les parties prenantes à tout mettre en œuvre pour la concrétisation, du projet au plan conceptuel,  dans un délai de 6 mois. Ainsi, des   séances de travail ont été tenues avec les Recteurs des Universités d’État  de Yaoundé I et de Yaoundé II.

Une équipe d’experts chargée de l’élaboration d’un plan d’actions prioritaires, a été mise en place. Elle est composée d’une part des représentants des Ministères en charge de l’enseignement supérieur, des sports et de l’éducation physique, de la jeunesse et de l’éducation civique et des finances et d’autre part du CAMES, de la CONFEJES, de l’INJS et des Universités d’État de Yaoundé.

Au terme des travaux et des échanges, une clause d’engagement individuel et collectif a été signée par les parties prenantes.

Les Universités d’Etat de Yaoundé I et de Yaoundé II se sont engagées, chacune en ce qui la concerne, à signer un accord avec l’INJS de Yaoundé, en vue de faciliter de l’inscription des étudiants et des enseignants de l’INJS aux cycles de recherche (Master et Doctorat), de prendre en compte des disciplines des STAPS-JL dans les Écoles Doctorales existantes et d’assurer la promotion des enseignants de l’INJS dans le Corps des enseignants du Supérieur.

La coordination et l’accompagnement institutionnel et académique en matière de gouvernance universitaire pour la création de l’Ecole Doctorale STAPS-JL au Cameroun, seront assurés par le Ministère de l’Enseignement supérieur.

Le Ministère des Sports et de l’Éducation Physique et le Ministère de la Jeunesse et de l’Éducation Civique se sont engagés à assurer l’accompagnement institutionnel et technique dans leurs domaines, en vue de la création de l’Ecole Doctorale STAPS-JL au Cameroun.

Pour l’INJS de Yaoundé, pour sa part, s’engage :

  • à mettre à disposition la logistique nécessaire au Comité de mise en œuvre et de suivi du projet de création de l’École Doctorale STAPS-JL au Cameroun ;
  • à pourvoir à la mise en place de l’Ecole Doctorale STAPS-JL du Cameroun ;
  • à relancer le projet de partenariat avec l’Université de Yaoundé I ;
  • à finaliser le projet de partenariat amorcé avec l’Université de Yaoundé II ;
  • à rechercher auprès d’autres Universités ou organismes des accords de partenariat.

Le CAMES et la CONFEJES, dans le cadre de leur partenariat, se sont engagés à faciliter la mobilisation et l’identification en cas de besoin,  des ressources humaines nécessaires en vue de la création de l’École Doctorale STAPS-JL au Cameroun,  à vocation sous-régionale (Afrique Centrale, Grands Lacs et Océan Indien).

    

      

La CONFEJES en appui à la section Sénégal de l’Union de la Presse Francophone (UPF)

Le Secrétaire Général de la CONFEJES a participé, le  08 avril 2017, à une journée d’échanges organisée par l’Union de la Presse Francophone (UPF), sur le thème : « le virage numérique dans la presse francophone ». La rencontre s’est tenue à la Maison Nationale de la Presse du Sénégal, dans le cadre de la célébration de la Quinzaine de la Francophonie au Sénégal.

Cette initiative a bénéficié de l’appui de la CONFEJES. Pour le Secrétaire Général de la CONFEJES, l’appui à la section sénégalaise de l’Union de la Presse Francophone s’inscrit dans le cadre de la contribution au rayonnement des valeurs et idéaux de la Francophonie. Aussi, le Secrétaire Général de la CONFEJES n’a pas manqué de réaffirmer son engagement à promouvoir comme il se doit les valeurs de la Francophonie.

La collaboration l’Union de la Presse Francophone constitue pour la CONFEJES une nouvelle opportunité, pour renforcer de son rayonnement médiatique et se faire connaitre du grand public.

Faut-il le rappeler, à l’occasion de cette rencontre il a été question de la problématique de l’impact du numérique sur les métiers et les pratiques des membres de l’UPF, et également, sur celles du rôle de la Presse dans le rayonnement des valeurs cardinales de la Francophonie.

 

 

Le Secrétariat Général de la CONFEJES se dote d’une nouvelle équipe

La 36ème Conférence ministérielle de la CONFEJES, réunie à Cotonou (Bénin), les 20 et 21 avril 2017, a pris d’importantes décisions portant sur la composition de l’équipe du Secrétariat général.

Par décision numéro C36-21, la 36ème Conférence ministérielle de la CONFEJES a reconduit Monsieur Bouramah ALI HAROUNA (Niger), au poste de Secrétaire général de la CONFEJES, pour un mandat de 4 ans, à compter du 1er septembre 2017. La Conférence ministérielle a, par ailleurs, félicité Monsieur Bouramah ALI HAROUNA pour ses qualités humaines et professionnelles qui ont permis à la CONFEJES d’accroitre son rayonnement et l’efficacité de ses programmes.

Les autres nominations prononcées concernent :

  • Madame Christine Gabrielle METI épouse ZE (Cameroun), aux fonctions de Directrice Adjointe des Affaires Administratives et Financières, pour un mandat de (3) ans, renouvelable une fois, assorti d’une période d’essai de six mois, à compter du 1er novembre 2016 ;
  • Monsieur Modibo TRAORE (Mali ) est nommé Directeur des Programmes Jeunesse pour un premier mandat, renouvelable une fois, de trois (3) ans, assorti d’une période d’essai de six mois, à compter du 1er septembre 2017 ;
  • Monsieur Alexandre YOUGBARE (Burkina Faso) a été reconduit, pour un second mandat, de trois (3) ans, aux fonctions de Directeur des Programmes EPS/Sport, à compter du 1er septembre 2017 ;
  • Madame Fatoumata SYLLA (Seychelles) est nommée Directrice Adjointe des Programmes Jeunesse pour un premier mandat, renouvelable une fois, de trois (3) ans, assorti d’une période d’essai de six mois, à compter du 1er septembre 2017 ;
  • Madame ETAME-THOBI Louisette Rénée (Cameroun) est nommée Directrice Adjointe des Programmes EPS/Sport pour un premier mandat, renouvelable une fois, de trois (3) ans, assorti d’une période d’essai de six mois, à compter du 1er septembre 2017.

Il faut noter que la nomination aux postes de Directeurs et de Directeurs Adjoints, en  application de l’article 18 des statuts du personnel, procède d’un appel à candidatures ouvert à tous les pays membres de la CONFEJES, suivi d’une procédure de sélection sous la supervision d’un jury international, conformément aux articles 16, 17 et 19 des mêmes statuts.