Confejes

Session de formation de formateurs en matière de lutte contre les conduites addictives et sur les outils de suivi et évaluation pour la zone Océan Indien

Août 1, 2011 Actualités

Du 11 au 15 juillet, s’est tenu à Antananarivo (Madagascar), une session de formation de formateurs sur la lutte contre les conduites addictives des jeunes.

L’ouverture de ce séminaire a été présidée par Secrétaire général du Ministère de la Jeunesse et des Loisirs de Madagascar, Monsieur Brutho Bezaka en présence de Monsieur Ali Hatouna Bouramah, Directeur des Programmes Jeunesse de la CONFEJES et représentant le Secrétaire général de la CONFEJES.

Douze (12) participants dont quatre (04) femmes sont venus de Maurice (02), Seychelles (02) et Madagascar (08).

Il convient de noter que cette session rentre dans le cadre de la diffusion du contenu du fascicule « Suivre et Evaluer les actions de prévention des conduites addictives », conçu et édité en 2010 par la CONFEJES, et du renforcement des capacités des acteurs de la lutte contre les conduites addictives et la toxicomanie.

La session de Madagascar constitue la première de la série de session prévue pour les pays de l’Afrique de l’Ouest, de l’Afrique Centrale et des Grands Lacs, des pays du Maghreb et des pays de l’Océan Indien.

Les travaux ont permis de mettre en exergue le caractère transversal de la lutte contre la toxicomanie ainsi que la nécessité de nouer des partenariats institutionnels tant dans les actions de prévention que de financement des activités.

La question du suivi/évaluation des actions interpelle tous les acteurs des politiques et programmes publiques qui veulent concourir à la promotion des jeunes et du sport dans un contexte de recherche d’efficacité et de gestion axée sur les résultats.

Les constats faits et les attentes vis-à-vis de la session de Saly Partudal font qu’il est apparu que, depuis l’adoption par la CONFEJES de la GAR comme option programmatique, le suivi-évaluation est devenu un outil de pilotage au service des actions que mène notre institution en général. Il doit l’être encore plus pour les projets de prévention.

En marge des travaux, les participants ont visité un centre de traitement et une structure de prévention de la toxicomanie.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *